« Je veux donner une bonne image de l’Afrique, du monde arabe et de la Tunisie » – Jeune Afrique


La Tunisienne Ons Jabeur lors du premier tour féminin de Roland-Garros contre la Kazakhe Yulia Putintseva le 1er juin 2021 à Paris. © Julian Finney/Getty Images/AFP
La joueuse tunisienne fait figure de pionnière du tennis chez elle, voire sur le continent. Entre deux tours à Roland-Garros, elle s’est arrêtée pour évoquer son parcours et son statut avec « Jeune Afrique ».
Elle est l’une des trois représentantes du continent à Roland-Garros, qui se tient à Paris du 30 mai au 13 juin. La joueuse de tennis Ons Jabeur, 26e mondiale, a réussi son entrée dans le tournoi international en dominant la Kazakhe Yulia Putintseva en deux sets (7-5, 6-2). Après sa victoire, la Tunisienne de 26 ans s’est arrêtée pour livrer ses impressions à Jeune Afrique. L’occasion d’évoquer son ambition à Paris et son rôle de modèle pour la jeunesse tunisienne en particulier et arabe en général.
Jeune Afrique : Quelle est votre ambition dans ce tournoi ?
Ons Jabeur : J’essaie de prendre chaque match l’un après l’autre. J’ai un tableau assez difficile avec Ashleigh Barty [la numéro un mondiale, NDLR] que je rencontrerai peut-être au troisième tour. L’objectif est d’être en deuxième semaine du tournoi. Je sais que ça demande beaucoup de travail, mais je sens vraiment que je peux y arriver.
La France est proche de la Tunisie, j’ai beaucoup de supporters tunisiens ici